Quand ma lèvre, ose épouser ta bouche,
Au désir fragile, d'un baiser brûlant.
Que chaude, mon haleine te touche,
A notre croyance, nos rêves s'unissant.
Je bois le reflet, de ta pleine ardeur.
Sous ton regard, mes yeux te respirent.
Ta lèvre inondée, d'une vive douceur,
M'émeut et ton délicieux soupir.
J'embrasse le silence, de ta volupté.
Sous ton regard, mes yeux te respirent.
Ta lèvre inondée, d'une vive douceur,
M'émeut et ton délicieux soupir.
J'embrasse le silence, de ta volupté.
Ton cœur sur le mien, l'instant réjoui,
Tu retiens contre toi, le bonheur charmé.
La paupière mi-close, l’œil dans l'infini.
Tu retiens contre toi, le bonheur charmé.
La paupière mi-close, l’œil dans l'infini.
Peux-tu tendrement aimer le baiser,
Sur ta lèvre fine, débordée d'amour,
Que le sentiment secret, est venu poser,
Laissant la tendresse, mordre le contour.