Le temps mort, a réchauffé les souvenirs,
Par-delà les pensées, rangées dans l'oubli,
Réveillant les songes, ébouriffés de désirs,
Réveillant les songes, ébouriffés de désirs,
Que le passé a minutieusement enseveli.
Le suprême retour, emmiellé de tendresse.
Jusqu'au délire, va par les illusions perdues,
Souffler sur la conscience, ranimer l'ivresse,
De ses émotions jadis, joyeusement vécues.
Le suprême retour, emmiellé de tendresse.
Jusqu'au délire, va par les illusions perdues,
Souffler sur la conscience, ranimer l'ivresse,
De ses émotions jadis, joyeusement vécues.
Vains préjugés de mots, étouffés de silence.
Les visions fanées, enfouies dans la mémoire,
Vont réchauffer sans parole, l'effervescence,
Du sentiment, qui naguère, fut nourri d'espoir.
Les visions fanées, enfouies dans la mémoire,
Vont réchauffer sans parole, l'effervescence,
Du sentiment, qui naguère, fut nourri d'espoir.
Nostalgiques, ainsi, s'écoulent bien entières,
Les joies successives sur les pas du temps.
Comme un regard clos, sur le courant d'hier,
Qui soudain, vient se jeter sur le présent.
Les joies successives sur les pas du temps.
Comme un regard clos, sur le courant d'hier,
Qui soudain, vient se jeter sur le présent.
M PIERRON